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Festival des 5 saisons

Prenant place au cœur du Parc de Hauster, le Festival des 5 saisons, créé en 2010 à l'initiative de la Commune de Chaudfontaine, présente en Belgique l’originalité d’être le seul événement permanent dédié à la création contemporaine paysagère et artistique.
A travers l'installation d’œuvres d'art et la conception de jardins thématiques, le Festival des 5 saisons sensibilise un large public à la nécessité de préserver et de valoriser notre environnement. Il fait aussi découvrir de manière inédite l’art contemporain et la place grandissante des préoccupations environnementales dans les pratiques artistiques actuelles.
Depuis 2017, la direction artistique de l’événement a été confiée par la commune à Lieux‑Communs. le Festival des 5 saisons a pris un nouvel envol et affiche ses ambitions: devenir un lieu de référence incontournable pour la création artistique dans le milieu  naturel, s’étendre au fil des futures éditions plus largement sur le territoire et la vallée de la Vesdre.
Six œuvres avaient été implantées lors de l’édition 2017 et cinq nouvelles œuvres permanentes ont intégrés cette année le parc. Ainsi en deux ans, le nombre d’œuvres présentées aux promeneurs et touristes a pratiquement doublé.
 
Depuis 2018, le Festival investit aussi de manière permanente le Pavillon Fourmarier, un lieu architectural patrimonial remis ainsi en valeur.
Conçu en 1962 par l’architecte Charles Lacrosse, ce pavillon est appelé à l’époque de sa construction le « Palais de vitres ». Il accueille dans le cadre du Festival des 5 saisons une programmation d’expositions temporaires conçues pour être vues, en permanence, de l’extérieur. Trois ou quatre expositions sont organisées par année Cette vitrine artistique sert aussi ponctuellement de lieu d’accueil pour des événements, des  initiatives et performances en lien avec le festival.

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Niko Van Stichel / Lut Vandebos, "Melancholia", 2018

Melancholia fait revenir le visiteur dans le monde de l'enfance.
Melancholia
veut être une cure lumineuse artistique pour les visiteurs.

Le visiteur peut pénétrer dans le grand kaléidoscope, afin de faire partie intégrante de l'œuvre et de s'immerger dans un bain mouvant de lumière et de reflets.

Avec sa forme épurée et son caractère ludique, Melancholia construit un univers entre rêve et réalité, entre fantaisie et matérialité .


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Benjamin Testa, "Chute 15,625m3 / Tragédie de la trajectoire", 2018

Chute 15,625m3 / Tragédie de la trajectoire, une cabane, réalisée à partir de planches de bois, gît au sol et de grands arcs en acier décrivent sa chute. L'artiste utilise ici les codes de la bande dessinée et fige dans une sculpture différents moments d'une action. L'habitat haut perché, d'ordinaire destiné aux rêveries enfantines, semble avoir défié les lois physiques, bondit et rebondit, pour tracer une trajectoire imaginaire et dessiner un paysage fantastique

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Diane Benoit du Rey, "En continu", 2018

En continu est une fresque peinte sur une structure octogonale. Le spectateur est invité à se déplacer tout autour de la structure. Les huit peintures agissent alors comme un découpage des différentes perceptions qui s'offrent au promeneur, dans son cheminement. Elles interagissent avec l'environnement immédiat, empruntant au Parc de Hauster des éléments qui le caractérisent. Les peintures dialoguent ainsi tantôt en miroir, tantôt en prolongement, tantôt en décalage avec l'espace et ses perspectives.

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Charlotte Burtin, "Nous", 2018
Nous est une installation de silhouettes abstraites en errance. Chaque silhouette reflète l'espace environnant et vient s'insérer dans la Nature jusqu'à, par moment, quasiment disparaître.

Le spectateur peut, à proximité de l’œuvre, voir les reflets en fonction de la lumière, de la météo et de son positionnement dans l'espace.
Nous est un jeu d'apparitions et de disparitions. Au fil des saisons et des ambiances climatiques, l’œuvre évolue d’un ancrage total à une distanciation avec l'environnement, dans le paradoxe d'une présence non totalement présente. Nous met en évidence un questionnement qui reste sans réponse, en suspend et sous-jacent : Qui sommes-nous dans cet Univers ? Quelle est notre place ? Quelle est notre relation avec la nature ?

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Gaëlle Dornier investit le PAVILLON FOURMARIER 

Conçu en 1962 par l’architecte Charles Lacrosse, ce pavillon est appelé à l’époque de sa construction le « Palais de vitres ». Il accueillera dans le cadre du Festival des 5 saisons une programmation d’expositions temporaires conçues pour être vues, en permanence, de l’extérieur. Trois ou quatre expositions seront organisées par année et les vernissages ouverts à tous seront aussi  l’occasion de rencontrer l’artiste qui présentera sa démarche artistique. C’est Gaëlle Dornier qui investira avec ses sculptures cet espace à partir du 3 mai.
Cette vitrine artistique servira aussi ponctuellement de lieu d’accueil pour des événements, des  initiatives et performances en lien avec le festival.

Le Pavillon porte le nom du géologue Paul Fourmarier, professeur à l’Université de Liège, qui découvrit à cet endroit une source d’eau chaude.
Cette construction est une réalisation très intéressante avec son architecture joyeuse, légère, sa façade finement structurée et son toit aérien. Les parements intérieurs et extérieurs se caractérisent par l’usage de matériaux naturels ou artisanaux (mosaïque). Un escalier structure le bâtiment et permet l’accès à la source en sous-sol.

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Florence LENAIN, Tout passe, Tout change, Tout disparaît III, 2018

Pour cette installation, j'ai voulu créer des formes d'assez grandes dimensions, qui semblent être en mouvement, afin qu'elles puissent dialoguer avec le corps ; travailler la céramique pour véritablement l'inscrire dans l'espace.
Comme les moisissures, l'érosion ou la rouille, le travail de matière que je réalise sur mes pièces évoque le travail du temps. Travailler sur les moisissures, la détérioration et l'altération, pour tenter d'en faire quelque chose d'intrigant et fascinant, plutôt que repoussant ou glauque.
Les résultats sont volontairement non maîtrisés. La combinaison entre forme et émail permet d'interroger la nature de l'objet, de se demander ce qu'il est, d'où il vient.
Mon travail est en permanence nourri par ce qui m'entoure ou par mes souvenirs d'enfance.
Les thèmes que j'aborde me permettent de retrouver une certaine sécurité tout en me déstabilisant. Ce jeu de contradiction m'intéresse et m'interpelle. Bousculer et être bousculée.

Florence Lenain

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